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Sénégal 2011/01
Le Centre agro écologique Fajal Sa Suuf a été établi afin d’enseigner des techniques agricoles respectueuses de l’environnement aux agriculteurs et aux maraîchers de la région côtière située à environ 70 -80 km au nord-est de Dakar. L’objectif du projet est non seulement de lutter contre la désertification et la pollution chimique, mais aussi d’encourager les jeunes chômeurs à ne pas immigrer en leur démontrant la viabilité économique de l’agriculture et maraîchage biologiques. L’ONG Restaure la Terre a demandé au Fonds 1% de financer la construction du quatrième et dernier bâtiment du complexe agricole, un bâtiment à double usage devant être utilisé pour le stockage des produits et la formation. La construction s’est achevée entre février et juillet 2012.
Uganda 2010/01
La «Foundation for Uganda Women’s Development» a reçu des fonds pour achever et empoissoner des étangs pour la pisciculture. La démarche réduit la pression sur les stocks de poisson sauvage et améliore l’alimentation de la communauté. Selon le rapport final du projet, soumis en février 2012, la production était adéquate pour la vente ainsi que pour la consommation chez les membres de la coopérative et leurs familles, et le creusement de nouvel étangs était en cours.
L’Uganda était l’un des pays visités par Thomas Morgan and Maarika Kulmala en 2010. Un diaporama PowerPoint (pptx) de leur présentation à l’Assemblée générale de janvier 2011 du Fonds est à voir ici.
Bangladesh 2008/01
De petits fermenteurs pour la production de biogaz à partir de litières de volailles et de bouses de vache sont en construction dans la région de Magura. La vingtaine qui fonctionnaient déjà à l’été 2009 fournissaient à 105 familles du gaz pour la cuisson, du combustible pour les générateurs et des engrais. La dégradation causée à l’environnement par la déforestation et l’accumulation de déchets animaliers non traités a été ainsi freinée.
Congo, République démocratique 2008/01
Avec une contribution du Fonds 1% pour le développement, l’association TEMO, dont le siège est en Suisse, a coopéré avec une association locale de la ville de Gungu à la construction d’une école maternelle et d’une école primaire (trois salles de classe et un bureau pour les enseignants) sur un terrain fourni par les autorités locales. On pourra suivre chaque étape de la construction dans un diaporama sur le site Web de TEMO.
Mali 2008/01
Très nutritive, la farine Wassa est à base de manioc, de haricots et de cacahuètes. Dans un projet géré par RESO-Femmes (http://www.reso-femmes.org/), le Fonds 1% pour le développement a aidé une coopérative à s’équiper pour la préparation et le conditionnement du produit.
Haïti 2007/01
Le budget de l’Ecole Normale de formation des enseignants de Liancourt sera allégé par l’installation de panneaux solaires, afin de diminuer l’utilisation de groupes électrogènes qui sont peu fiables et consomment de carburants chers. Avec cette source d’électricité, de nouvelles possibilités en informatique et en communication s’ouvriront aux élèves et à la communauté environnante.
Philippines 2006/01
SEED, une organisation non-gouvernementale (ONG) dans l’agglomération de Manille, en collaboration avec l’ONG française Entrepreneurs du Monde avait établi trois agences dans un quartier défavorisé pour recevoir les économies des micro-entrepreneurs locaux rejetés par les banques traditionnelles et les offrir des prêts autrement accessibles qu’auprès des usuriers. Le Fonds 1% pour le développement a contribué l’argent nécessaire pour une bourse dont 320 emprunteurs se sont servi au cours de sa première année de fonctionnement. Pendant cette même période les agences ont maintenu des comptes d’épargne pour 1 170 clients.
Le tailleur dans la première photo à gauche a fondé son entreprise avec un prêt équivalent à EUR 66. Quand la participation du Fonds 1% s’est achevée, il disposait de plusieurs machines et employait trois couturières à temps partiel. La deuxième photo montre une partie de l’entreprise de récupération de déchets établi par le bénéficiare d’un prêt pareil. Après 14 mois et deux prêts se succédant, cet entrepreneur employait quatre personnes et pouvait faire des versements systématiques sur un compte d’épargne à coté de ses remboursements.
La croissance de SEED s’est poursuivie, avec le nombre de micro-entrepreneurs servis dépassant les 4 000 en 2010 et 4 agences en opération.